mercredi 8 octobre 2008

Since the circus left town

Même si l'on écoute la radio d'une oreille, lit la presse d'un oeil, absorbe la télévision d'un orifice, l'information commence à rentrer. C'est la fin du monde, même si personne ne peut véritablement l'expliquer clairement. D'aucuns préfèrent la livebloguer. Et puis c'est pas très grave, paraît-il.

Alors comme c'est pas grave, on en rit, et personne ne nous en voudra.



Comme Soustache aura toujours 8 ans 1/2, elle continue à rêver tous les matins que l'école a brûlé pendant la nuit et que tout ce qui lui reste à faire, c'est de gambader dans la prairie avec ses amis et quelques animaux. Puisqu'elle n'a pas le courage de tout envoyer en l'air par sa propre volonté, elle en est réduite à espérer le collapsus du capitalisme et à fantasmer l'effet domino qui conduirait au naufrage de toutes les entreprises de communication de Paris.

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